Actualités de la recherche

Les Archives de la critique d’art présentent l’actualité de leurs programmes de recherche, les bourses et résidences de recherche, les publications réalisées et les participations à des colloques ou des journées d’études.

Informations complémentaires et liste des évènements dans l’Agenda des Archives de la critique d’art.

Projet de recherche 2024-2025

Gwenn Riou, lauréat du projet « Les ateliers du Crestet / Le centre d’art du Crestet », partenariat Cnap / Aca / UR « Histoire et critique des arts » de l’université Rennes 2 (2024-2025).

Le Centre d’art du Crestet dans le Vaucluse, domaine dont le Cnap était propriétaire, a été vendu au début de l’année 2024. A l’origine c’est le sculpteur François Stahly qui en 1966 achète ce terrain et confie à son fils, l’architecte Bruno Stahly, la construction d’une villa moderniste, classée au titre des monuments historiques en 2022. Ce lieu va être à la fois, un atelier pour lui et son épouse la tapissière Claude Stahly, mais aussi un endroit où tous les étés pendant une quinzaine d’années des jeunes sculpteurs et sculptrices vont venir se former. Le domaine comprend la maison mais aussi un amphithéâtre à ciel ouvert et un bois où toutes les sculptures vont se fondre avec la nature. En 1985, l’Etat acquiert le lieu qui devient un centre d’art et une résidence d’artistes pionniers dans le rapport entre l’art et la nature, mettant en lien le domaine des arts plastiques avec la littérature, la danse, la musique, l’anthropologie ou la botanique. Le site a fermé ses portes en 2003.

A travers ce projet de recherche, le Cnap et l’institution partenaire entend retracer l’histoire extrêmement riche de ce site, de ses prémisses en 1966 jusqu’à sa fermeture en 2003. Les archives du centre d’art (1985-2003) ont été confiées à différentes institutions – les archives départementales du Vaucluse, les Archives de la critique d’art à Rennes – et une partie rapatriée au Cnap. Concernant l’activité du centre d’art, le rôle de l’association, son président et ses directrices seront des personnes ressource. Les archives avant 1985, de l’artiste François Stahly, seront à considérer en lien avec les ayants droit de l’artiste.

En parallèle, le Cnap a lancé deux commandes artistiques dans le champ de la photographie (Tadashi Ono) et de la vidéo (Mathilde Rosier) pour conserver des traces de l’histoire de ce lieu dans sa collection, qui comprend déjà une quinzaine d’œuvres produites et ou exposées à différentes périodes de l’histoire du lieu.

 

Séjour de recherche

Cassandre Langlois, lauréate 2024 de la bourse d’écriture TextWork

Heureuses d’accueillir parmi leurs mécènes la Fondation d’entreprise Pernod Ricard, les Archives de la critique d’art s’engagent au côté de TextWork/Fondation Pernod Ricard pour soutenir le travail de jeunes autrices et auteurs de la scène française.
Ouvrant un espace pour une critique d’art ambitieuse, cette bourse d’écriture offre la possibilité d’un accompagnement individuel privilégié de la recherche documentaire et théorique aux Archives de la critique d’art.
Elle donne lieu à la publication d’un texte final en français et en anglais sur le site internet de la Fondation Pernod Ricard.

A propos de Cassandre Langlois, lauréate 2024 : plateforme éditoriale TextWork

Résidence d’artiste 2023-2024

Né en 1985, Thomas Tudoux vit et travaille à Rennes. Sa pratique oscille entre le travail en atelier et les créations collaboratives dans l’espace social. Depuis 2019, il s’est investi dans des recherches-actions-créations, construites directement avec des chercheur·euses en sciences humaines et sociales. En 2022, il est lauréat d’une bourse de la Maison Européenne des Sciences de l’Homme et de la Société de Lille (MESHS), soutenue en parallèle par une aide à la création de la DRAC Bretagne. Ces nouvelles pratiques l’ont attiré vers les sciences, mais aussi vers l’éducation populaire et le militantisme.

La résidence aux Archives de la critique d’art sera l’occasion de développer un dialogue riche entre art, science et société, en partant de la notion d’évaluation, inhérente à l’exercice de la critique d’art.

La résidence reçoit le soutien de la Ville de Rennes et de la Région Bretagne.
Pour en savoir plus sur Thomas Tudoux
sur https://reseau-dda.org/fr/artists/thomas-tudoux

Séjour de recherche

Liza Maignan, lauréate 2023 de la bourse d’écriture TextWork

Heureuses d’accueillir parmi leurs mécènes la Fondation Pernod Ricard, les Archives de la critique d’art s’engagent au côté de TextWork/Fondation Pernod Ricard pour soutenir le travail de jeunes autrices et auteurs de la scène française.
Ouvrant un espace pour une critique d’art ambitieuse, cette nouvelle bourse d’écriture offre dorénavant la possibilité d’un accompagnement individuel privilégié de la recherche documentaire et théorique aux Archives de la critique d’art.
Elle donne lieu à la publication d’un texte final en français et en anglais sur le site internet de la Fondation Pernod Ricard.

A propos de Liza Maignan, lauréate 2023 : plateforme éditoriale TextWork

Résidence d’artiste 2022-2023

Lauréate du Prix du FRAC Bretagne – Art Norac 2022, l’artiste rennaise, Fanny Gicquel, investit cet automne les collections des Archives de la critique d’art dans le cadre d’un accueil en résidence.

Diplômée d’un DNSEP (félicitations du jury) en juin 2018, Fanny Gicquel poursuit une pratique artistique hybride, déployée entre la sculpture et le corps à travers le médium de l’installation et de la performance en associant chorégraphie et improvisation. « Une sorte de porosité entre le soi et l’autre, l’intérieur et l’extérieur, l’humain et le non-humain est venue définir l’œuvre de Fanny, qui imagine le monde moins comme un espace d’entités discrètes et cloisonnées que comme une constellation dynamique d’entremêlements, de croisements, et d’interférences. » (Jesi Khadivi). Elle a également initié plusieurs projets collectifs dont COMICO, Transitoire et B612, à Rennes et ailleurs, afin de promouvoir la jeune création contemporaine.

Dans sa pratique de la performance, la notion de trace, d’archive et de document est essentielle afin de conserver une mémoire des actions immatérielles. Elle est tout autant sensible à la qualité physique des documents et aux gestes professionnels, à leur conditionnement, leur mise en récit. Son intérêt pour la notion d’archive trouve ainsi un écho particulier dans l’invitation faite par les Archives de la critique d’art, afin d’explorer différents aspects de ce vaste concept. Que ce soient des archives de la performance, du Mail Art ou encore la correspondance abondante entre critiques et artistes, chargée de complicité et d’affects, les sources se présentent sous l’œil de l’artiste comme une matière première extrêmement riche pour renouveler ses pratiques. Loin de vouloir simplement recourir à l’esthétique liée au « tournant archivistique », Fanny Gicquel se montre tout autant sensible à la qualité physique des documents et aux gestes professionnels, à leur conditionnement, leur mise en récit. Marquée par l’approche plurielle dont les ACA considèrent l’archive à la fois comme un espace de travail, un outil de pensée et une manière de créer du lien – patrimonial, artistique et social –, elle souhaite engager un projet qui permet de penser l’archive à la fois sous l’angle de ses objets matériels – pièces d’archives – et immatériels – idées, intentions, projets.

Valorisation du projet.

La résidence reçoit le soutien de la Ville de Rennes et de la Région Bretagne.
Pour en savoir plus sur l’artiste : https://www.fracbretagne.fr/fr/expositions/le-prix-frac-bretagne-art-norac-2

Professeure invitée : Priscilla Alves Peixoto

Priscilla Alves Peixoto est professeure invitée de la Chaire internationale des humanités et sciences sociales de l’Université Rennes 2 du 15 mars au 15 avril 2022. Son projet de recherche prend appui sur les travaux menés à partir des archives de l’AICA International dans l’axe prioritaire « Acteurs, réseaux, circulations » des Archives de la critique d’art, en étroite corrélation avec celui du laboratoire Histoire et critique des arts (UR 1279) : « La critique et ses objets ».
Cette collaboration porte en particulier sur les pratiques archivistiques, la création de nouveaux outils documentaires et le renouvellement théorique dans le champ de la critique. Son accueil permet l’échange théorique et méthodologique, notamment lors de séminaires et conférences, bénéficiant aux étudiants et aux publics des Archives de la critique d’art.

Conférence publique, le 07 avril 2022, 16 heures-18 heures : « Archives, critique et politique. Notes pour une historiographie de la critique (non spécialisée) de l’architecture au Brésil », Université Rennes 2, Salle L 146 (Conférence retransmise à distances), organisée par l’Unité de Recherche Histoire et Critique des Arts (université Rennes 2), le GIS Archives de la critique d’art, Rennes et le Réseau international de recherche Mapping Architectural Criticism.

Originaire du Brésil, Priscilla Alves Peixoto est depuis 2018 professeure adjointe en histoire d’architecture au Brésil à la Faculté d’architecture et d’urbanisme de l’Université fédérale de Rio de Janeiro. Elle est aussi enseignante collaboratrice du Programme de doctorat en architecture dans la même université (PROARQ-UFRJ), poste qu’elle occupe depuis 2021. Ses travaux académiques s’inscrivent depuis 2020 dans deux groupes de recherche – « Laboratoire des Récits Architecturaux » (PROARQ-UFRJ) et « Archives, sources et récits : entre ville, architecture et design » (FAUUSP).
Depuis son doctorat soutenu au sein du Programme en urbanisme de l’Université fédérale de Rio de Janeiro (PROURB-FAU-UFRJ) en 2018 et du stage doctoral réalisé à l’École nationale supérieure d’architecture Paris-Belleville, ses recherches s’intéressent à l’historiographie de la critique d’architecture et de l’urbanisme, plus spécifiquement au rapport entre production textuelle et biographie, ainsi qu’à la problématisation de sources et des archives.

Résidence d’artiste 2021

Lauréat : Mathis Berchery (poète et artiste, diplômé d’un DNSEP Art, Eesab-Rennes)

Projet artistique : LES YEUX RIVES

Les ACA accueillent en 2021 le jeune artiste et poète Mathis Berchery  pour une immersion dans les archives relatives au voyage que Pierre Restany avait effectué en Amazonie, et qui a donné lieu à la rédaction du « Manifeste du Naturalisme Intégral » en 1978.

Il s’agira pour Mathis Berchery de penser et transmettre les écrits de Restany lors de son voyage avec Sepp Baendereck, Frans Krajcberg et André Paluch en 1978 à bord du navire Robson-Reis, qui donna lieu au développement de la pensée du Naturalisme Intégral comme une poursuite logique, en dehors de la ville, du Nouveau Réalisme. Le projet visera aussi à montrer les conditions de voyage et les outils perceptifs et conceptuels qu’avaient Restany et ses compagnons pour produire ce manifeste, et de quelle manière ces écrits résonnent aujourd’hui, alors que la forêt amazonienne brûle, que les peuples indigènes luttent pour leurs traditions et leur liberté d’habiter la terre comme ils l’entendent, que l’effondrement écologique demande d’interroger les manières «occidentales», modernes, d’être en relation, de consommer, de percevoir, de représenter.

Cette immersion sera également l’occasion d’une recherche plastique pour créer un dispositif de performance, pour y activer le récit, la lecture du manifeste. Seront d’une part développés des actions-effets qui accompagneront le récit, la lecture du manifeste ; et d’autre part des formes en plâtre seront créées, inspirée par la pensée naturaliste intégrale et venant transformer ponctuellement le paysage du dispositif.

Le projet est soutenu par les Archives de la critique d’art, l’Espace Krajcberg (Paris), 40mcube (Rennes) et le CNAP.

Exposition

Un espace pour autre chose : la Biennale de Paris, 1959-1985

Lieu : Parcours de la collection permanente « Petits papiers du 20e siècle » au Centre Pompidou (Paris), 4e étage.
Dates : 4 juin – 31 décembre 2021

Comment penser aujourd’hui, à partir de ses archives, la Biennale internationale des jeunes artistes, tenue à Paris de 1959 à 1985 ? Sa création reflète l’ambition artistique et politique de replacer Paris sur la scène mondiale en attirant la jeune création. Mais son déroulement est ponctué de nombreuses critiques et controverses : freinée d’abord par une participation internationale foisonnante, contestée comme trop institutionnelle après 1968, la biennale essaie ensuite de contourner les voies de sélection diplomatiques sans pour autant susciter la réussite désirée et, après quelques tentatives de réformation, s’éteint en 1985. En marge de cette histoire officielle, et souvent de manière imprévue, elle a néanmoins ouvert des espaces de création inédits. L’accrochage en distingue trois : les « travaux d’équipe » des années 1960 qui font jouer les disciplines ; l’affirmation des pratiques performatives dans les années 1970 ; l’invention, dans une série d’œuvres, de modes de circulation et d’échange défiant les frontières géopolitiques.

Conçu par Elitza Dulguerova et Mica Gherghescu, cet accrochage est issu d’un programme de recherche de l’Institut national d’histoire de l’art mené depuis 2017 en partenariat avec les Archives de la critique d’art de Rennes, la Bibliothèque Kandinsky et l’Institut national de l’audiovisuel, qui se décline également sous forme de publication et de portail numérique de ressources.

Plus d’informations sur l’exposition

Bourse de recherche Paris / Rennes 2020-2021

Lauréat 2020 : Dominique Laleg (post-doc, Istituto Svizzero di Roma)
Titre du projet de recherche Cy Twombly in Rome (1957-1968). US-American Painting in Post-War Italy.
Le séjour a dû être décalé à cause de la crise sanitaire.

Lauréate 2021 : Victoria H. F. Scott (docteur en histoire de l’art, Terre-Neuve)
Titre du projet de recherche Maoism and the Visual Culture of Paris 1968: A Critical History.

Le Centre allemand d’histoire de l’art (DFK Paris), en partenariat avec les ACA, propose la bourse Paris | Rennes d’une durée comprise entre un et trois mois pour un projet nécessitant un séjour dans des fonds d’archives ou de bibliothèques à Paris ainsi qu’aux Archives de la critique d’art à Rennes. Cette bourse s’adresse aux chercheurs de tous niveaux, sans restriction de nationalité. Elle doit leur permettre d’échanger avec les équipes de deux institutions en France, une située dans la capitale et l’autre en région, et de se familiariser avec leurs approches transnationales de l’histoire de l’art.

La bourse Paris | Rennes s’inscrit dans les axes de recherches majeurs du DFK Paris et des Archives de la critique d’art de Rennes : côté Rennes, elle se rattache aux initiatives des projets « Prisme. La critique d’art, prisme des enjeux de la société contemporaine (1948-2003) » et « 1959-1985, au prisme de la Biennale de Paris », elle prend appui sur la transversalité des 97 fonds d’archives de critiques, d’artistes, de galeristes et d’institutions depuis 1945 ; au DFK Paris, elle est reliée aux nombreux travaux fondés sur l’analyse de la critique d’art et à l’analyse épistémologique des relations artistiques (comme par exemple, parmi d’autres, les projets « OwnReality. À chacun son réel » et « Travelling Art Histories »).

Publication en ligne : actes 2017-2019

Une grande partie des communications présentées aux différents séminaires et au colloque, dans le cadre du programme de recherche [REL-ARTS] portant sur « La ‘relation critique’ dans l’après-guerre français : les arts visuels vus à travers les écrits, 1944-1964 », seront réunies sous forme numérique sur le carnet de recherche Hypothèses  « La ‘relation critique’ en France, 1944-1964 » à partir de la page dédiée aux Actes 2017-2019.

La responsabilité éditoriale est assurée par Lilian Froger et Françoise Nicol.

Colloque international

Gustave Geffroy, critique d’art, acteur de la vie culturelle

Lieu : Université Rennes 2
Dates : 18-19 mars 2021

Critique d’art incontournable connu pour sa défense de l’impressionnisme et ses ambitions historiennes, Gustave Geffroy est une personnalité majeure du monde des arts et des lettres françaises entre 1880 et 1926. Proche de nombreux artistes, écrivains et personnalités des milieux culturels, il devient le troisième président de l’académie Goncourt, et en 1908, directeur de la Manufacture des Gobelins.

Ce colloque, par une approche pluridisciplinaire, appréhende différentes facettes de sa carrière et de son œuvre, l’importance de ses réseaux, l’ampleur et la complexité des activités et stratégies de cet homme de gauche. Par les relectures de la vie et de la production de Geffroy, il permet d’élargir la connaissance de celui qui fut un des grands acteurs de la vie culturelle à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle.

Durant l’intervention « Une « pépite » des Archives de la critique d’art : quand les critiques s’exercent en historiens », Antje Kramer-Mallordy évoque un tapuscrit inédit de 1951 « Psychologie du critique d’art », provenant du fonds Michel Ragon, qui pointe en particulier le rapport entre histoire de l’art et critique d’art, Geffroy ayant œuvré selon Ragon comme « historien du présent ».

Colloque organisé Patricia Plaud-Dilhuit & Pierre-Henry Frangne, Unité de Recherche 1279 « Histoire et critique des arts » de l’université Rennes 2, en partenariat avec les ACA.

Résidence de recherche 2020

Lauréate : Clélia Barbut (post-doc, sociologie : Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3 ; histoire de l’art : Université Laval, Québec)
Projet de recherche : « Le fonds d’archives de Nathalie Magnan – Féminismes, circulation des idées et histoire des sexualités »

Cette recherche s’articule autour de deux axes thématiques : celui de la trajectoire intellectuelle et celui de l’activisme féministe et lesbien, dans leurs articulations avec l’histoire de l’art et de la critique d’art en France. A travers les documents produits et rassemblés par Nathalie Magnan il s’agit d’interroger d’une part la circulation des idées entre la Californie du Sud et la France, depuis les années 1980 : à travers les enseignements qu’elle a reçus puis prodigués, Nathalie Magnan a participé à la fabrique de l’appareil conceptuel qui articule féminisme et histoire des sciences, dont un des foyers est le département d’Histoire de la conscience de l’université de Santa Cruz. Le transfert en France de cet appareil conceptuel a fortement influencé l’histoire des féminismes contemporains mais également les champs de l’histoire et de la philosophie des sciences. Comment cet appareil conceptuel s’est-il inscrit dans la pratique et la pensée d’une enseignante en arts ? D’autre part la recherche questionnera la construction des modes de militantisme lesbiens en France à partir des années 1990. Au sein de l’histoire « LGBT », les récits et les représentations lesbiennes souffrent souvent d’un éclairage moindre que les activismes gays. Comment l’engagement de Nathalie Magnan en faveur de la communauté lesbienne en France se traduit-il dans ses fréquentations et ses productions artistiques, et quels apports ceux-là représentent-ils pour l’histoire de l’art contemporain ?
La recherche a pris la forme de deux mois d’étude du fonds d’archives à Rennes, en octobre et novembre 2020 ; elle consistera aussi en la réalisation d’entretiens avec des ancien.ne.s étudiant.e.s, collègues, ami.e.s de N. Magnan, qui pourront être intégrés comme archives orales aux fonds des ACA. Le projet inclut – sur le plan de la valorisation – l’organisation d’une journée d’études, faisant intervenir des artistes, chercheur.se.s autour des thématiques et questions soulevées par le fonds.