Expositions

L’objectif fondateur des Archives de la critique d’art est de donner à voir et de rendre accessible la richesse documentaire et scientifique de la collection de l’INHA à partir des papiers et autres médias accumulés par les critiques d’art et leurs interlocuteurs (artistes, galeries, centres d’art et autres organismes dédiés à l’art contemporain) au cours de leur activité.

Le versement d’imprimés et d’archives s’accompagne d’un travail d’exploitation documentaire, scientifique et d’une valorisation dans le cadre d’expositions ou d’évènements.

« Films de Barbara Rose »

25 avril 2024 : projection de films de la critique d’art Barbara Rose, Auditorium de l’INHA.

Le fonds d’archives de la critique et historienne d’art américaine Barbara Rose (1936-2020), qui a rejoint la collection INHA – Archives de la critique d’art en automne 2022, ouvre des perspectives inédites sur les engagements multiples de Barbara Rose depuis ses premiers pas dans la scène new-yorkaise post-expressionniste et minimaliste à ses réseaux intellectuels des deux rives de l’Atlantique.

Barbara Rose a régulièrement documenté ses articles à partir d’entretiens enregistrés. Cette pratique l’a menée à scénariser ou à réaliser un certain nombre de films documentaires tels que American Art in the 1960s (1972) et The New York School (1973), North Star : Mark di Suvero (1977), en collaboration avec Blackwood Productions et François de Mesnil et Philip Glass. Elle a ensuite produit et réalisé Lee Krasner : The Long View (1978), Tanya Grosman : a life with painters and poets (1979) et Art / Work / USA (1980) sur le soutien de l’art plastique sous le gouvernement New Deal de F. D. Roosevelt.

Extrait du film de Barbara Rose « Lee Krasner : The Long View » (1978)

« The New School of Paris through its Pioneering Women (1945–1964) »

3 avril-25 mai 2024, Perrotin New York, 130 Orchard St, New York, NY 10002, États-Unis.
Commissariat : Thomas Schlesser, historien de l’art, écrivain et directeur de la Fondation Hartung-Bergman, en partenariat avec les Archives de la critique d’art.

Perrotin a le plaisir de présenter la première exposition sur la « Nouvelle École de Paris » aux États-Unis avec des œuvres inédites provenant de collections privées et de fondations. Les artistes présentés sont : Geneviève ASSE, Anna-Eva BERGMAN, Terry HAASS, Hans HARTUNG, Georges MATHIEU, Serge POLIAKOFF, Gérard SCHNEIDER, Pierre SOULAGES, Maria Helena VIEIRA DA SILVA, WOLS, Zao WOU KI. Explorant la période de 1945 à 1964, l’exposition rassemble également de nombreuses archives qui racontent l’histoire de femmes pionnières qui ont contribué à façonner le mouvement d’après-guerre.

À cette occasion, des archives originales rares issues de la collection de l’INHA-Archives de la critique d’art, Rennes seront présentées et documenteront un film de 52 minutes produit spécifiquement et projeté pendant la durée de l’exposition.

Vues de l’exposition et présentation.

Captation de la table-ronde, animée par Thomas Schlesser, Lynn Gumpert et Antje Kramer-Mallordy, qui s’est tenue à la galerie Perrotin, New York, le samedi 13 avril 2024 à 17h00.

Archives sur l’École de Paris, vue partielle de l’exposition, Perrotin New York

« féminies​ »

27 mars au 18 mai 2024, Mur du fonds et Le Cabinet, Frac Bretagne, Rennes.
Commissariat : Étudiant.e.s du Master 1 Métiers et Arts de l’exposition (MAE) de l’Université Rennes 2 (promotion 2023-2024).

« L’équipée critique » est un programme pédagogique développé par le Frac Bretagne, le Master Métiers et Arts de l’exposition de l’Université Rennes 2 et les Archives de la critique d’art.

À partir de l’exploration du fonds d’archives d’Aline Dallier (1927-2020), pionnière d’une critique d’art au féminin, et des œuvres de la collection du Frac Bretagne, L’équipée critique présente féminies. Le titre choisi fait écho aux expositions intitulées « Féminie » conçues par le groupe Dialogue, entre 1975 et le début des années 2000, et au sein duquel la critique d’art, Aline Dallier participa en tant que conseillère artistique à l’Unesco. Féminie a sorti de l’anonymat un grand nombre d’artistes femmes et, revisité ici au pluriel, invite à la diversité des regards, des pratiques et au faire ensemble.

Les documents d’archives, issus des dossiers de travail qu’Aline Dallier a constitués par artiste, dévoilent plusieurs facettes des productions féminines et féministes dans l’art. Ils nous éclairent sur les revendications des artistes femmes et les actions qu’elles ont déployées pour se faire une place sur la scène artistique depuis les années 1970.

Livret de l’exposition

Vue partielle de l’exposition « féminies », Mur du fonds, Frac Bretagne, Rennes

« Forever sixties »

L’esprit des années 1960 dans la Collection Pinault.

10 juin au 10 septembre 2023, Couvent des Jacobins, Rennes.
Commissariat : Emma Lavigne, Tristan Béra.

À travers des œuvres emblématiques, dont certaines n’ont encore jamais été exposées par la Collection Pinault, « Forever Sixties » offre un éclairage sur un moment décisif de l’histoire de l’art contemporain, la révolution visuelle des années 1960, et son héritage rémanent dans la création des décennies suivantes. De quoi les Sixties sont-elles le nom ? Libération, répression, appropriation ? Sous influence anglo-américaine, cette décennie se caractérise par un boom démographique et économique sans précédent, l’émergence de la société de consommation et le début de la conquête spatiale. Marquées par les conflits idéologiques, la Guerre froide et les guerres de décolonisation, l’apogée violente du mouvement des droits civiques et la libération sexuelle, les Swinging Sixties — années répressives comme intitulées par Richard Hamilton qui joue des mots « swinging » (basculant, oscillant, dansant) et « swinging » (drastique, sévère) — sont aussi un champ de tensions opposant conservatisme et démocratisation, culture dominante et contre-cultures alternatives, conformisme mercantiliste et rêves d’évasion.

Plus de 80 photographies, coupures de presse, affiches, revues…, issus de la collection INHA – Archives de la critique d’art, jalonnent le parcours de l’exposition, en mettant en lumière les trajectoires et projets artistiques ainsi que les contextes sociopolitique et culturel dans lesquels ils s’insèrent.

 

« L’âge pop », extrait de la frise chronologique 1955-2000

« BLOCH/VIDÉO : Confrontation 23​ »

4 avril au 14 mai 2023, Mur du fonds et Cabinet, Frac Bretagne, Rennes.
Commissariat : Étudiant.e.s du Master 1 Métiers et Arts de l’exposition (MAE) de l’Université Rennes 2 (promotion 2022-2023).

« L’équipée critique » est un nouveau programme pédagogique développé par le Frac Bretagne, le Master Métiers et Arts de l’exposition de l’Université Rennes 2 et les Archives de la critique d’art.

À partir de l’exploration du fonds d’archives de la critique d’art vidéo Dany Bloch et des œuvres de la collection du Frac Bretagne, L’équipée critique présente Bloch/Vidéo : Confrontation 23. Cette exposition ouvre une fenêtre sur les espoirs et réflexions de la théoricienne quant à l’avenir de l’art vidéo, un médium en prise avec l’évolution des technologies. Grâce à cet accrochage, une sélection d’œuvres vidéo et plastiques dialogue avec le bagage critique et théorique hérité de Dany Bloch.

Le titre de l’exposition est un clin d’œil à la participation de cette dernière au commissariat d’Art/Vidéo Confrontation 74, première exposition d’art vidéo en France organisée par le musée d’Art moderne de la Ville de Paris.

Documents sur les prémices de la vidéo, archives Dany Bloch

« Quand l’art fait un carton »

17 et 18 septembre 2022, Salle Labrouste, Institut national d’histoire de l’art, Paris.
Commissariat : Jérôme Delatour, INHA

L’INHA a ouvert les portes de ses sites patrimoniaux, la salle Labrouste – bibliothèque de l’INHA – et la galerie Colbert – son centre de recherche, pour les 39e Journées européennes du patrimoine. A cette occasion, l’institut a organisé un programme d’événements conviviaux autour du thème Patrimoine durable : mini-conférences, concours d’éloquence, exposition d’œuvres et documents.

Dans notre monde contemporain, les expositions se succèdent à un rythme effréné, au gré de nos appétits d’émotions et de connaissance. Qu’en reste-t-il, une fois les portes refermées ? Un catalogue, un dossier d’archives, quelques photos, mais parfois beaucoup moins, surtout quand on remonte le temps – un petit livret, une simple invitation peuvent en être la principale trace. Ces documents éphémères, qui n’ont souvent vécu que le temps d’être hâtivement parcourus, ont été collectés par la bibliothèque de l’INHA depuis ses origines, sans doute sous l’impulsion de certains de ses premiers bibliothécaires, ou par les critiques d’art eux-mêmes dans la collection Archives de la critique d’art de l’INHA.

Les ACA ont choisi de présenter des cartons d’invitation sur les avant-gardes issus des fonds d’archives de Michel Ragon et de Pierre Restany. Un premier corpus rend hommage à Michel Ragon (1924-2020), figure incontournable de la scène artistique française et internationale après 1945, critique engagé, aux convictions libertaires, en faveur du renouvellement de la création. Le second ensemble accorde une place à la scène artistique tchécoslovaque pendant la période du « dégel » post-stalinien, dans les années 1960, à travers les invitations de Stano Filko, Alex Mlynárčík et Robert Cyprich.

Vitrine sur l’activité critique de Michel Ragon

« LES YEUX RIVES : Paysage d’archives amazoniennes »

31 mars-18 mai 2022, Espace Frans Krajcberg, Centre d’Art Contemporain Art & Nature, Paris.
Commissariat : Mathis Berchery.

A l’invitation des Archives de la critique d’art, Mathis Berchery, artiste et poète, s’est plongé, dans le Journal du Rio Negro de Pierre Restany, tenu à l’été 1978, qui contient le Manifeste du Naturalisme Intégral. Du « choc » produit par ce voyage en compagnie de Frans Krajcberg, autant esthétique que sensible et philosophique, Restany écrit l’éloge de la nature amazonienne, appelle à une conscience plus sérieuse des enjeux écologiques au sein de l’art, et à une sensibilité affective envers « la nature ». Tout en considérant les limites de ce discours à l’aune des outils intellectuels et sociaux contemporains, et au regard de la réception brésilienne et européenne d’alors, Mathis Berchery travaille à développer trois dispositifs qui offrent chacun une perspective singulière sur l’expérience du voyage, immobile ou réel, et sur les relations aux non-humains, qu’ils soient des vivants ou des images :

  • une installation qui explore l’archive tel un paysage, qui pousse la notion de naturalisme vers l’aberration, vers des gestes de découpage et de cadrage qui mettent en tension rigueur structurelle et fourmillement organique des formes
  • une performance qui envisage la bouche comme un environnement sonore où le langage est l’égal du son, le mot l’égal du cri, le silence l’égal de la respiration, où la parole se fait manger
  • un texte, intitulé Quand on devient une rivière, qui superpose les espace-temps du Journal du Rio Negro, d’une marche le long de La Vilaine, de l’exploration des méandres archivistiques, et d’autres bras de littérature parcourus en parallèle ou évoqués par Pierre Restany.

LES YEUX RIVES est un projet issu d’une résidence aux Archives de la critique d’art (2021), associée au dispositif « Contre vents et marées », avec le soutien de la Région Bretagne et en collaboration avec a.c.b – art contemporain en Bretagne. Le projet reçoit le soutien du Centre national des arts plastiques – Cnap, des Archives de la critique d’art, de l’Espace Frans Krajcberg art & environnement, du centre d’art 40mcube, du lieu d’art et de performance Le Générateur, des Ateliers Blancarde / Dos Mares.

Pour en savoir davantage : Dossier de presse de l’exposition

Edition
A l’issue de sa résidence aux Archives de la critique d’art, Mathis Berchery fera l’objet d’une invitation inédite dans le n°58 de la revue CRITIQUE D’ART. Parution prévue en mai 2022.

Salto Angel, Vénézuela. Carte postale, fonds Pierre Restany.

« Prague 1968 »

1 février-1 avril 2022, Maison des associations, Rennes.
Organisation : Leïla Le Drissi avec le concours des Archives de la critique d’art, en partenariat avec le Festival Travelling.

Quoi de mieux que de rendre hommage à la ville de Prague en évoquant le moment historique que fut le Printemps de Prague de 1968 ? Événement sensible et tragique s’il en est, le Printemps de Prague marque un coup politique de grande ampleur qui a sans aucun doute remis en question les pensées politiques pendant et au-delà des années 1960-1970. À travers photographies (AFP et l’agence photographique de la RMN-Grand Palais) et archives dénichées dans les archives de Pierre Restany, Prague 68 vous invite à (re)découvrir ce sujet foisonnant qui a concerné et touché bon nombre de praguois, de tchécoslovaques et de citoyens du monde.

Vue partielle de l’exposition Prague 1968, Maison des associations, Rennes, 2022

« Tous les jours 20 ans ! »

31 janvier 2022, Bibliothèque de l’INHA, salle Labrouste, Paris.
Organisation : Sophie Derrot, Jérôme Delatour.

Au cœur de la salle Labrouste de la Bibliothèque de l’Institut national d’histoire de l’art, découvrez le temps d’une journée une pièce d’archives de la collection Archives de la critique d’art de l’INHA.

Pour célébrer les 20 ans de l’INHA, l’historienne de l’art Cécile Bargues, actuellement pensionnaire à l’INHA, a choisi de partager avec le public parisien un document photographique, issu du fonds Pierre Restany, qui dévoile un épisode célèbre de l’histoire des avant-gardes.

Texte écrit par Cécile Bargues

Harry Shunk, Réunion constitutive du Nouveau réalisme, 17 octobre 1960, planche contact, Shunk-Kender © J. Paul Getty Trust. © Œuvre : succession Yves Klein c/o ADAGP, Paris. INHA – Collection Archives de la critique d’art, fonds Restany, FR ACA PREST THE NRE008.

 

 

« Un espace pour autre chose : la Biennale de Paris, 1959-1985 »

4 juin 2021-31 janvier 2022, parcours de la collection permanente « Petits papiers du 20e siècle » au Centre Pompidou, Paris, 4e étage.
Commissariat : Elitza Dulguerova et Mica Gherghescu.

Créée en 1959, la Biennale internationale des jeunes artistes, dite « Biennale de Paris », souhaite redonner à la capitale française une place centrale sur la scène mondiale en attirant la création de moins de 35 ans. En treize éditions, elle accueille plus de 6000 participations individuelles ou de groupe venant de plus de 75 pays et une pluralité de formes d’art : classiques (peinture, sculpture, arts graphiques), expérimentales (performance, art vidéo, art conceptuel, film) et collaboratives. La manifestation prend fin en 1985 sans parvenir à réaliser les ambitions qui avaient animé sa création.

Que reste-t-il de cette biennale, pionnière à son époque ? Cet accrochage la revisite à partir des traces qu’en gardent les archives. Un choix de documents visuels, textuels, sonores et audiovisuels pointe aussi bien ses réussites que les moments de crise, de controverse, d’échec. Quant aux espaces de création et d’expérimentation surgis souvent en marge de l’histoire officielle de la Biennale, parfois de manière imprévue, ils sont ici présentés sous forme de projection.

Plus d’informations sur l’exposition

 

Vue partielle de l’exposition Un espace pour autre chose : La Biennale de Paris, 1959-1985, Centre Georges Pompidou, 2021

 

« 1969, la Biennale contestée »

Promenade et exploration dynamique de la sixième Biennale de Paris (1969) à partir des archives de la collection de l’INHA, du fonds éponyme conservé aux Archives de la critique d’art à Rennes.

La présentation montre un parcours complet, structuré, interactif et ludique de la manifestation à partir de documents choisis et de textes écrits par les étudiants du Master 2 « Histoire et critique des arts » de l’Université Rennes 2 (promotions 2019-2020 et 2020-2021), encadrés par Nathalie Boulouch, maitresse de conférences en histoire de l’art contemporain.

Cet outil synthétique permet de suivre cet évènement international comme un parcours d’exposition visuel et textuel : cartons d’exposition, affiches, textes, photographies, courriers, notes, articles de presse. La navigation, l’action zoomer/dé-zoomer apportent une meilleure visibilité aux documents.

© ACA, Paul Dissais

Visualisez plus facilement la présentation à partir du navigateur Microsoft Edge

« La vie dans les dits : de l’archives à la création »

11-20 décembre 2019, Cloître de l’EESAB-site de Rennes.
Commissariat : Raphaële Jeune, étudiants de l’EESAB (3e année).

Soulignant l’activité pédagogique toujours croissante des Archives de la critique d’art, « La vie dans les dits », permet une immersion dans les archives comme matériau de création, à l’issue d’un atelier semestriel mené avec les étudiants de l’EESAB-site Rennes. A partir d’un ou plusieurs documents (textuel, photographique, sonore ou audiovisuel) les étudiant·e·s ont réalisé, individuellement ou en groupe, une proposition plastique qui en fait ressortir le caractère vivant et en prolonge librement le sens.

Une dizaine de projets inédits sont présentés et prennent appui ou s’inspirent, entre autres, du débat sur l’art entre Pierre Cabanne, Pierre Restany et Martial Raysse (entretien, 3 mai 1967), de la place de la critique d’art dans le processus de décolonisation en Afrique, de la révolte de mai 1968, des réactions de la critique française face à la déferlante américaine du Pop Art en 1964 ou encore de la Biennale de Venise de 1964.

Affiche de l’exposition (extrait ; tampon des ACA) © Patrice Ménard

« La Puce à l’oreille »

14 novembre 2019-16 janvier 2020, Galerie art & essai, Project Room, Campus de Villejean.
Co-production Archives de la critique d’art-C-E-A.
Commissariat : Anabelle Lacroix.

A l’occasion de leurs trente ans d’existence, les Archives de la critique d’art s’associent à l’association française des Commissaires d’exposition (C-E-A) pour initier une résidence curatoriale autour des rapports entre pratique critique et pratique de l’exposition.

Cette première résidence curatoriale propose une traversée des Archives de la critique d’art sous l’angle de l’expérimentation à partir d’archives textuelles, sonores et audiovisuelles sur : Arman, Art Press, ArTitudes, Gretchen Bender, Aline Dallier-Popper, Dirk de Bruyn, Marcel Duchamp, Don Foresta, Le G.R.A.V., Otto Hahn, Pierre Henry, Pontus Hultén, Alain Jouffroy, Kanal Magazine, Maria Klonaris et Katerina Thomadaki, Robert Lebel, Babette Mangolte, Orlan, Gina Pane, Paris Experimental, François Pluchart, La Quinzaine Littéraire, Pierre Restany, Mimmo Rotella, Michael Snow, Tacet : Experimental Music Review, Wolf Vostell.

Les documents sont issus des fonds d’archives : APAC-Centre d’art contemporain, Nevers ; Biennale de Paris 1959-1985 ; Pierre Cabanne ; Centre culturel canadien, programmation artistique ; Aline Dallier-Popper ; DRAC Bretagne ; Dany Bloch ; Don Foresta ; Catherine Francblin ; Galerie Urbi et Orbi (Paris) ; Otto Hahn ; Alain Jouffroy ; Alain Macaire ; François Pluchart ; Frank Popper ; Pierre Restany.

Vue partielle de l’exposition La Puce à l’oreille, galerie art & essai, Campus de Villejean, 2019

« Japon-France : migrations artistiques »

8 novembre-16 décembre 2018, Musée des beaux-arts, Rennes.
Co-production Archives de la critique d’art-Musée des beaux-arts.
Commissariat : Nathalie Boulouch, Patricia Plaud-Dilhuit et les étudiants.e.s de Master 1 d’histoire de l’art.

A l’occasion de la célébration des 160 ans de relations culturelles franco-japonaises, cette exposition révèle ce que l’artiste Jean Clareboudt a qualifié, dans les années 1980, de mouvements de « migrations intellectuelles et artistiques ». Elle met en lumière la richesse des collections du Musée des beaux-arts de Rennes et des Archives de la critique d’art, pour témoigner des relations entre le Japon et la France du XVIIIe siècle à nos jours.

L’exposition a été conçue et réalisée par deux promotions d’étudiant.e.s (2017/2018) en Master 1 d’histoire de l’art, option « Gestion et mise en valeur des oeuvres d’art, des objets ethnographiques et techniques » de l’université de Rennes 2.

Vue partielle de l’exposition Japon-France : migrations artistiques, Musée des beaux-arts de Rennes, 2018

« Mémoires croisées / Dérives archivistiques »

13 mai-18 juillet 2015, INHA, Paris ;
18 sept.-29 nov. 2015, Frac Bretagne, Rennes.

Co-production Archives de la critique d’art-INHA-Frac Bretagne.
Commissariat : Jean-Marc Poinsot

Évocations de la grande et de la petite histoire : présentation de plus de 250 documents sur des moments clefs de l’histoire de l’art de la seconde moitié du XXe siècle.

Livret sur un thème de l’exposition, réalisé par les étudiants en histoire de l’art dans le cadre d’un séminaire de recherche Master 2 « Histoire et critique des arts » à l’Université Rennes 2 sous la direction de Nathalie Boulouch et Antje Kramer-Mallordy (2014-2015).

Journal de l’exposition réalisé par le Frac Bretagne.

Vitrine consacrée à l’année 1964, exposition Mémoires Croisées / Dérives archivistiques, INHA, Paris, 2015